Quelques papillons pris en vol avec mon 50mm f/1.8 : Moro-sphinx et Citron.
jeudi 29 août 2013
lundi 26 août 2013
Les canards déchainés
Une série-test ornithologique faite avec un vieux objectif Canon 80-200mm pas trop lumineux.
Enjoy !
jeudi 22 août 2013
Vivitar : le come back
Un jour que j'accompagnai ma mère chez un papy, ce dernier a ressorti du vieux matériel photographique qui prenait la poussière dans son placard. Il m'a gentiment légué trois de ses objectifs fossiles pour une somme dérisoire. Parmi eux se trouvait le rarissime et oublié objectif Vivitar macro-zoom 28-70mm f/3.5, 30 ans d'âge.
J'ai alors acheté une bague d'adaptation FD (monture argentique à baïonnette) et j'ai monté ce dinosaure sur mon Canon EOS 60D. La perte des automatismes est évidente. Tout doit se faire manuellement, y compris la mise au point. Les collimateurs ne clignotent plus quand un détail est net. L'instinct sera mon meilleur allié. Le réglage de l'ouverture du diaphragme se fait via une bague mécanique qui actionne un système interne de l'objectif.
Le caillou a fait ses preuves. J'apprécie le caractère de ses clichés comportant du grain et des artefacts rappelant les vieilles photos couleurs d'époque. Un petit retour vers le passé dans un monde contemporain.
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vendredi 9 août 2013
Friche humide
Visite d'une friche juste après une bonne grosse pluie.
La cour de l'usine arborent une flore très dense, une véritable jungle dans laquelle il faut se faufiler pour passer d'un bâtiment à l'autre. On passe de l'odeur délicate des fleurs à la puanteur de l'ammoniaque et du vitriol en quelques pas.
C'est un lieu où la nature tente de reprendre ses droits en brisant les murs d'amiante-ciment et en grimpant le long des barreaux de fer rouillés.
Un endroit fort sympathique rempli de déchets nocifs en train de pourrir les sols et les nappes phréatiques comme on les aime et qui ont coûté à votre photographe et rédacteur de forts maux de têtes.
La cour de l'usine arborent une flore très dense, une véritable jungle dans laquelle il faut se faufiler pour passer d'un bâtiment à l'autre. On passe de l'odeur délicate des fleurs à la puanteur de l'ammoniaque et du vitriol en quelques pas.
C'est un lieu où la nature tente de reprendre ses droits en brisant les murs d'amiante-ciment et en grimpant le long des barreaux de fer rouillés.
Un endroit fort sympathique rempli de déchets nocifs en train de pourrir les sols et les nappes phréatiques comme on les aime et qui ont coûté à votre photographe et rédacteur de forts maux de têtes.
dimanche 4 août 2013
La maison de l'oncle Sam
La maison de l'oncle Sam est une sympathique petite bâtisse abandonnée non loin de la route. Il faut passer un ponton de béton enjambant une rivière pour atteindre le portail cadenassé qui garde la demeure. Il semblerait que cette maison soit abandonnée depuis le mois d'avril 1966 compte tenu de l'indice découvert dans une des pièces. Malgré tout, il reste quelques meubles et un bordel sans nom au rez-de-chaussé.
vendredi 2 août 2013
Terres Troubadours III
Dernière partie des aventures à Hautpoul avec Fred.
Les jeux de lumières et de flammes de l'école du cirque de Mazamet, Grimoires en lumières et la Rocque d'Hautpoul.
Les jeux de lumières et de flammes de l'école du cirque de Mazamet, Grimoires en lumières et la Rocque d'Hautpoul.
La bête du Gévaudan semble flotter dans les ténèbres.
Une sirène tend une main avenante vers les étoiles réelles et irréelles.
Un hibou calligraphié se détache sur son perchoir de pierres rougies.
Un terrible dragon vient honorer la cité d'Hautpoul de sa présence.
Une mystérieuse spirale vient déformé le mur par son apparition. Symbole de renouveau et d'éternel recommencement.
Dans la cour du château, une danse du feu se joue au rythme de la musique du groupe Armutan.
Des épées, des torches et des perches se font prêter la flamme du dragon pour éblouir les spectateurs.
Et même en faiblissant, la fumée rappelle combien la chaleur fût intense.
Aux côtés des musiciens, des danseuses font montre de leur habileté face à l'élément dangereux.
Et sur une ultime note poétique, un cercle de lumière se dessine.
Chers amis, lecteurs, et curieux bonhommes, c'est ici que se termine l'épopée médiévale. Nous nous retrouverons plus tard pour un tout autre périple.
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